Plaidant pour une littérature de jeunesse qui s’épanouit à l’école, dès les premiers degrés de la scolarité, cette rubrique présente des comptes rendus d’expériences didactiques, des interviews d’enseignants, des considérations sur la formation du corps enseignant. Un espace pour puiser – peut-être – des idées pour ses élèves qu’on accompagne dans la « voielivres ».

Paru en novembre 2016 aux éditions l’école des loisirs (collection « théâtre »), la pièce La Friche de Luisa Campanile a été sélectionnée parmi les six finalistes du Prix suisse Jeunesse et Média 2017, qui aura lieu à Berne le 26 novembre prochain. Voie Livres a voulu en savoir plus sur cet ouvrage et son auteure. (image […]Continuer à lire

Cette chronique constitue le second volet de la présentation d’un ensemble d’ateliers poésie que nous avons construits et menés en classe, ou lors de manifestations culturelles. Dans la première chronique, parue la semaine passée, nous avons envisagé trois ateliers concentrés principalement sur la réécriture de poèmes et la lecture de textes et d’images. L’ensemble de […]Continuer à lire

Nous proposons ici une série d’ateliers qui n’envisagent pas la poésie sous un seul angle, ou selon une définition préalable, mais à travers la multiplicité de ses pratiques. Ils ont tous été testés en classe, ou lors de manifestations culturelles. Nous avons choisi d’explorer aussi bien la lecture que l’écriture, le lien avec l’image et […]Continuer à lire

Comment donner du sens à l’écriture pratiquée à l’école ? Comment démontrer aux élèves que l’écriture loin d’être un don ou le fruit d’une inspiration soudaine, constitue un processus créatif et réflexif, qui, à bien des égards, est abordable et peut-être même amusant ? Pourquoi pas en explorant le fonds d’un écrivain pour donner la possibilité aux […]Continuer à lire

En avril prochain paraitra, à la Joie de Lire, Arthur aux yeux d’Azur, deuxième livre de Jacques Roman que l’on pourra qualifier, par commodité, de livre pour l’enfance. A cette occasion, nous publions ici une préface à Tout bêtement, premier de ces deux livres, restée jusqu’à aujourd’hui inédite. Cette chronique entend souligner que, loin de constituer un écart […]Continuer à lire

A. Pouget, 2013, Quelle épique Epoque opaque !, Paris : Casterman. © Cette seconde partie de chronique, faisant suite à la publication de la semaine précédente (voir ici), vise à présenter des ouvrages de littérature de jeunesse qui ont su s’inspirer de l’univers arthurien de manière brillante. Aux antipodes d’adaptations de textes médiévaux poussiéreuses, ces ouvrages constituent de réelles créations […]Continuer à lire

Le temps d’une littérature médiévale un peu poussiéreuse, prenant la forme d’adaptations à visée scolaire et célébrant les grandes figures historiques telles que Charlemagne ou Saint-Louis, est définitivement révolu ! En témoigne l’émergence de multiples publications qui s’inspirent de l’univers arthurien avec brio. Créatures et objets merveilleux, chevaliers, aventures ou encore quêtes sont réinvestis par la littérature de jeunesse, qui ne se contente pas d’adapter les textes […]Continuer à lire

Courageux, je prétends l’être, puisque vivent en moi les déterminations du Petit Poucet, de Tintin, de Fifi Brindacier, et de bien d’autres encore. Pourtant, j’étais mou et mal quand je me dirigeais, ce matin-là de février 2009, de mon bureau à la salle de cours, pour donner mon premier séminaire de littérature de jeunesse à l’Université de Lausanne. D’ordinaire, un prof qui gagne sa salle, c’est une pensée qui vogue, selon des protocoles bien éprouvés : il faut avoir le pas […]Continuer à lire

C’est un petit album carré, format caractéristique des éditions du Rouergue, un petit format qui convient à l’intime, qui concentre l’image, en même temps qu’il invite à l’abstraction : que voit-on sur la couverture ? L’image enfantine d’un bonhomme, un dessin d’enfant tracé sur une vitre transparente derrière laquelle semblent se profiler des silhouettes. Le titre et les indications d’auteur […]Continuer à lire

Je suis d’une génération où le noir et blanc allait encore de soi, les débuts de la télévision (Zorro, le jeudi après-midi, chez les copines qui avaient déjà cette boite magique), les films d’animation (le loup de Tex Avery), les films de la nouvelle vague, les photos qu’on développe à la maison dans une chambre […]Continuer à lire