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Voici la 3e chronique sur les trois que Voie Livres consacre à l’album numérique : on se demandera ici comment faire de l’album numérique un objet d’enseignement et d’apprentissage.     Après avoir présenté les caractéristiques de l’album de littérature de jeunesse numérique, et analysé l’album Moi j’attends… de Serge Bloch et de Davide Cali, […]Continuer à lire

Voici la 2e chronique sur les trois que Voie Livres consacrera à l’album numérique : on se demandera ici comment le définir, quelles sont ses caractéristiques, comment l’analyser pour mieux cerner ses opportunités didactiques.   Depuis une décennie, l’album de littérature de jeunesse numérique est devenu un objet dont la formation des enseignants et la […]Continuer à lire

« Imbattable » est le nom du Super-héros de la bande dessinée éponyme. Le trait est net, rappelant Quick et Flupck ou Tintin, les couleurs des aplats unis, à l’image des classiques franco-belges du genre. Les strips se déploient sur une à trois pages sans nécessaire lien entre eux. Super-héros car, comme son nom l’indique, […]Continuer à lire

  Invité en janvier 2019 à l’UNIL dans le cadre du 31ème colloque de l’ADMEE-Europe, Jean-François Boutin est Professeur titulaire à l’Université du Québec à Rimouski (campus Lévis), spécialiste de la lecture/écriture en contexte numérique. Voie Livres a saisi l’occasion de sa venue sur les bords du Léman pour lui poser quelques questions autour de […]Continuer à lire

A l’occasion de la semaine d’introduction aux études en Bachelor Primaire, la HEP-Vaud a invité le 28 août dernier Virginie Martel. La Professeure au Département des Sciences de l’éducation à l’Université du Québec à Rimouski (UQAR-campus Lévis), a donné une conférence sur la lecture à l’ère numérique. Virginie Martel s’intéresse aux questions didactiques liées à […]Continuer à lire

Courageux, je prétends l’être, puisque vivent en moi les déterminations du Petit Poucet, de Tintin, de Fifi Brindacier, et de bien d’autres encore. Pourtant, j’étais mou et mal quand je me dirigeais, ce matin-là de février 2009, de mon bureau à la salle de cours, pour donner mon premier séminaire de littérature de jeunesse à l’Université de Lausanne. D’ordinaire, un prof qui gagne sa salle, c’est une pensée qui vogue, selon des protocoles bien éprouvés : il faut avoir le pas […]Continuer à lire