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Courageux, je prétends l’être, puisque vivent en moi les déterminations du Petit Poucet, de Tintin, de Fifi Brindacier, et de bien d’autres encore. Pourtant, j’étais mou et mal quand je me dirigeais, ce matin-là de février 2009, de mon bureau à la salle de cours, pour donner mon premier séminaire de littérature de jeunesse à l’Université de Lausanne. D’ordinaire, un prof qui gagne sa salle, c’est une pensée qui vogue, selon des protocoles bien éprouvés : il faut avoir le pas […]Continuer à lire